Asteroide B612



Vendredi 15 février 2013  : 2012 DA14





La galaxie du Petit Prince en danger ? l' Express mène l'enquête 



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Dénicher un petit astéroïde susceptible d'être dévié et mis en orbite autour de la Lune pour servir de tremplin à une mission sur Mars, c'est la mission dont la NASA a été mandatée par Barack Obama.

 

Il s'agit de découvrir un astéroïde de sept à dix mètres de long, pesant 500 tonnes environ, et de le "remorquer" vers la Terre pour le placer dans une orbite stable près de la Lune.

 A l'horizon 2021, des astronautes à bord d'une capsule Orion pourraient se rendre sur l'objet céleste. Leur première mission serait de rapporter des échantillons du sol pour analyse.

 Une expédition vers la planète rouge elle-même est envisagée pour les années 2030.

"Cette mission nous permet de développer nos moyens d'explorer plus loin que jamais, vers un astéroïde et vers Mars, vers des milieux dont l'humanité a rêvé mais qu'elle n'a jamais eu l'espoir d'atteindre un jour", a expliqué l'administrateur de l'agence spatiale américaine, Charles Bolden, lors d'une téléconférence mercredi avec des journalistes.

 "Nous sommes sur le point de pouvoir dire à nos enfants et nos petits-enfants que nous y sommes presque."


Café martien - Combinaison spatiale


" La nature a déjà prévu de protéger les êtres vivants les uns des autres.

 Une carapace est un exosquelette qui soutient le corps et offre une protection contre les prédateurs.

Elle empêche la déshydratation chez les espèces terrestres ; elle protège les espèces sous-marines de la pression de l’eau.

Formée par des plaques articulées de plus ou moins grande taille, elle est déjà présente, il y a 500 millions d’années, avec les trilobites de l’ère cambrienne.

Les arthropodes (insectes, scorpions, crabes ou langoustes) et les mollusques sont les principaux groupes dotés d’un exosquelette.

 Les vertébrés présentent des formes de défense analogues : les écailles des reptiles deviennent carapace chez les tortues, des mammifères primitifs comme le tatou géant possèdent un bouclier osseux.

 Dans de nombreux cas, la protection est assurée non seulement par la solidité de la carapace, mais également par la mobilité de ses plaques : de nombreuses espèces peuvent se rouler en boule et prendre ainsi la forme qui résiste le mieux à la pression et aux chocs. "




Le Guide des combinaisons spatiales et du vol habité aborde de façon originale l’aventure de la conquête spatiale sous l’angle de l’extrême fragilité du corps humain dans un milieu hostile, vide d’air et de pression atmosphérique, néanmoins visité et habité.

Partant des équipements des plongeurs sous-marins, l’auteur montre comment ont été conçus et améliorés les équipements de vol donnant à l’astronaute, ou au pilote à très haute altitude, une combinaison pressurisée et confortable pour respirer et vivre normalement, protégeant contre les températures extrêmes, les radiations diverses et des débris spatiaux, et laissant voir et communiquer vers l’extérieur. La recherche du meilleur compromis entre souplesse et rigidité des équipements, pour plus de mobilité, a été la question centrale. Proches des scaphandres rigides, comme des boucliers nourriciers pour les sorties extra véhiculaires, ces vêtements sont plus souples en survie, lors des phases de décollage et de retour pour parer à toute décompression intempestive.

L’auteur, Jean-François Pellerin, présente ces équipements spéciaux en suivant les différentes étapes de l’homme dans l’espace :

  •  avions prototypes comme le X-15, vols en capsules spatiales (Mercury, Soyouz…), 

  • alunissages, 

  • vie dans l’espace à bord des navettes et des stations orbitales (Mir, Spacelab, ISS),

  •  et préparatifs pour les expéditions martiennes futures. 


Il n’oublie pas les vols en ballons stratosphériques, ni les sauts en parachutes à très haute altitude (32 km) dans des conditions proches de celles des premiers astronautes.


Plusieurs chapitres traitent de l’adaptation des pilotes et spationautes aux contraintes diverses liées aux fortes accélérations (vêtements anti-G), aux séjours prolongés dans l’espace ainsi qu’au retour au sol, et aux retombées importantes des recherches dans le domaine médical.




De nombreuses photos et illustrations viennent à l’appui d’un texte facile à lire malgré sa technicité, et qui salue l’ingéniosité des concepteurs russes et américains à relever de véritables défis technologiques. 




La question de la “seconde peau de l’astronaute” est traitée de façon exhaustive, claire et intéressante, comme le note Jean-Jacques Favier, ancien astronaute, qui signe la préface de cet excellent ouvrage.




Richard Feeser



La " Haute Couture " du spatial  ... 










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  • pour des enfants vulnérables :




  • pour des papas qui aiment faire de la moto mais qui souhaitent aussi pouvoir voir grandir leurs enfants :





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